Apprenez à connaître le secondeur de l’équipe nationale junior Cole Hepburn
Cole Hepburn est un secondeur de Newmarket en Ontario qui se rendra à Mexico au Mexique à la fin juillet pour représenter le Canada au Championnat du monde junior de l’IFAF 2018.
Initialement, le joueur étoile défensif ne pratiquait pas le football, mais il est tout de suite tombé en amour avec ce sport quand il a vécu sa première expérience en septième année à l’école.
« Nous avons enfreint le règlement et nous avons commencé à jouer au football avec contacts », ajoute-t-il. « Je suis rentré à la maison et je me suis dit : wow, je veux vraiment jouer au football. »
Depuis ce temps, Hepburn a joué pour les Bucs de York Simcoe Bucs de la Ligue interscolaire de football de l’Ontario (OVFL) et les Colts de Bill Crothers de l’Association sportive de la région de York (YRAA).
Il évolue présentement avec les Ravens de Carleton (USports) où il a connu le fait saillant de son parcours.
« Mon premier match universitaire a été mémorable », dit-il.
De plus, il a représenté sa province, puis son pays au sein de l’équipe nationale junior MU-19 du Canada dans le cadre de l’International Bowl 2018 à Arlington au Texas en janvier dernier.
« Cela nous a offert une belle visibilité, mais ce fut aussi une belle expérience de jouer contre des Américains », raconte Hepburn à propos du tournoi. « C’était une belle découverte. »
« Je n’avais jamais joué aux États-Unis et c’était bon de mesurer mes aptitudes aux leurs. »
Les modèles d’Hepburn dans le sport ont été ses entraîneurs.
« Ils sont comme une deuxième famille avec qui tu passes beaucoup de temps, particulièrement maintenant que j’étudie loin de la maison », dit-il. « Ce sont des personnes avec qui tu parles, qui sont des modèles que tu veux imiter. »
Le secondeur se fie au soutien et aux encouragements de son père qui a aussi été son entraîneur dans son parcours.
Maintenant en route pour représenter le Canada au Championnat du monde junior de l’IFAF 2018, Hepburn vit quelque chose de spécial quand vient le temps de porter l’uniforme unifolié
« On ne représente pas son pays à tous les jours et je me sens comme si j’allais aux Jeux olympiques », dit-il. « Il sera intéressant de voir comment le sport a connu de la croissance, non seulement au Canada et aux États-Unis, mais aussi partout dans le monde. »
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